Des nouvelles...des anciens du centre

Retrouvez ici le parcours de l'AJA à travers les ans.

Re: Des nouvelles...des anciens du centre

Messagepar LaTeigne » 16 août 2017, 22:11

Branger signe à Dieppe en N3 coaché par JG Walleme ^^

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Re: Des nouvelles...des anciens du centre

Messagepar zadat38 » 03 sept. 2017, 09:15

kimi57 a écrit : 01 août 2017, 13:02
zadat38 a écrit : 25 juil. 2017, 19:11 Salut à tous !

J'ai créé sur mon site une galerie photos des joueurs formés à l'AJA ! Vous y retrouverez des photos de leur passage à l'AJA, puis de la suite de leur carrière !

Voici le lien http://ancienscentreaja.e-monsite.com/p ... hotos.html
Encore félicitations pour ton site :amen:

Je cherche à savoir où est Benjamin Blemand disparu depuis plus d'un an. Toujours bléssé ? Toujours au club ? sans club ?

Merci à toi zadat
Avec plaisir !

Alors j'ai su qu'il avait quitté le club en cours de saison dernière, anticipant la fin de son contrat, mais depuis pas de nouvelles de lui malheureusement !

Localisation : AUXERRE

Re: Des nouvelles...des anciens du centre

Messagepar kimi57 » 03 sept. 2017, 16:03

zadat38 a écrit : 03 sept. 2017, 09:15
kimi57 a écrit : 01 août 2017, 13:02
zadat38 a écrit : 25 juil. 2017, 19:11 Salut à tous !

J'ai créé sur mon site une galerie photos des joueurs formés à l'AJA ! Vous y retrouverez des photos de leur passage à l'AJA, puis de la suite de leur carrière !

Voici le lien http://ancienscentreaja.e-monsite.com/p ... hotos.html
Encore félicitations pour ton site :amen:

Je cherche à savoir où est Benjamin Blemand disparu depuis plus d'un an. Toujours bléssé ? Toujours au club ? sans club ?

Merci à toi zadat
Avec plaisir !

Alors j'ai su qu'il avait quitté le club en cours de saison dernière, anticipant la fin de son contrat, mais depuis pas de nouvelles de lui malheureusement !
Merci zadat :super:

Il avait semble-t-il du talent avant une blessure il me semble ?

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Re: Des nouvelles...des anciens du centre

Messagepar Leonidas » 20 avr. 2018, 09:10

Des nouvelles de Waly Diouf qui joue désormais en Lituanie !
News:
Info FM : de l’académie de l’OL à la Lituanie en passant par une affaire Periscope et Leganés, l’étonnante trajectoire de Waly Diouf

Il n'a que 20 ans et, pourtant, Waly Diouf a déjà connu plusieurs épisodes marquants dans sa jeune carrière. Formé à l'Olympique Lyonnais, ce défenseur central a ensuite été viré de l'AJ Auxerre suite à une affaire de Periscope début 2016. Le Sénégalais, passé professionnel en Espagne à Leganés en mai 2017 avant de disputer le Mondial U20 en Corée du Sud, a ensuite choisi de rejoindre la Lituanie et Palanga en janvier pour se relancer. Pour FM, il se raconte.

Palanga, station balnéaire de l’Ouest de la Lituanie d’environ 20 000 habitants. Voilà la destination pour laquelle a opté Waly Diouf (20 ans) pour se relancer en janvier. Contacté par nos soins, le jeune défenseur central nous a raconté comment il s’était retrouvé chez le promu en première division locale. « J’ai résilié mon contrat avec Leganés à la mi-saison. J’étais libre pour le mercato d’hiver. J’avais plusieurs options qui s’offraient à moi. Avec mon agent, on s’était dit que la priorité était de retrouver un challenge qui me permettrait d’avoir du temps de jeu si je le mérite. C’est ce que j’ai trouvé en Lituanie », a-t-il expliqué avant de poursuivre. « Palanga a été promu en première division après avoir remporté le titre en deuxième division. On a la chance d’avoir comme entraîneur un ancien joueur qui a été professionnel, qui a joué ailleurs en Europe et a aussi été directeur sportif. Les premiers échanges ont été bons. Je l’avais eu au téléphone avant de venir. Il se demandait pourquoi un jeune, formé en France et qui était en Espagne, arrivait. Je lui ai expliqué que je voulais me relancer, jouer. Je lui ai dit que si j’avais des garanties, j’irais ».

Désormais titulaire indiscutable (6 fois en 6 journées), il savoure. « Je joue donc, c’est plus facile d’être heureux. Pour l’instant, tout se passe bien. Sportivement, collectivement, ça pourrait aller mieux. C’est la première saison du club en L1, on a eu un début de saison poussif, avec un groupe plutôt jeune, mais là, ça va un peu mieux. Individuellement, je suis plutôt content de mes prestations, je retrouve du rythme, mes sensations, c’est de bon augure pour la suite », a-t-il confié, avouant avoir eu quelques hésitations avant de franchir le pas. Mais l’envie de jouer a été plus forte. Il faut dire que son expérience à Leganés, initiée en mai 2017, ne s’est pas passée comme il l’espérait. Pourtant, tout avait plutôt bien commencé. « J’ai signé à Leganés en mai 2017 avant le Mondial U20 en Corée du Sud avec le Sénégal. Je voulais décider de mon avenir avant la compétition pour ne pas être perturbé par les appels des uns et des autres, je voulais jouer libéré. Le projet avait l’air carré, j’ai parlé avec le président. J’ai fait la préparation là-bas. J’étais le jeune avec le plus de temps de jeu parmi le groupe professionnel pendant le stage », a-t-il raconté.

Leganés, un souvenir mitigé...

Les choses se sont ensuite quelque peu gâtées pour l’intéressé. « À la fin de la préparation, je suis reparti avec la réserve. Je me suis dit qu’il fallait que je prouve, qu’il y avait des joueurs professionnels devant moi, que je devais patienter, prouver et que mon tour allait venir. Seulement, cela ne s’est pas passé comme ça. Je suis resté cantonné à la réserve malgré ma bonne préparation. Je devais faire des bancs avec les pros mais j’ai appris que ma licence n’était toujours pas enregistrée en septembre... alors que j’ai signé en mai et que j’étais arrivé au club en juillet. Un banc en Liga, je crois que c’était pour un déplacement sur la pelouse de l’Espanyol, ça aurait été bien. Et puis, on ne sait jamais, une blessure, un rouge, ça peut aller vite, ce qui n’est pas négligeable pour un jeune, surtout un défenseur central, pour qui les opportunités sont rares... J’ai pris mon mal en patience. Mais les résultats n’étant pas très bons, un nouveau coach est arrivé en réserve et m’a immédiatement fait comprendre qu’il ne comptait pas sur moi. J’ai donc été mis de côté les deux derniers mois de l’année. Je m’attendais à être soutenu par le staff de l’équipe première avec qui je m’entraînais. Puis il y a eu des retards de salaires et des impayés. On attendait un signe de la part du club avec mon agent. Mais j’ai vu que je n’étais pas le seul dans cette situation. J’ai préféré m’arrêter là avec eux et chercher un autre club pour rebondir », a-t-il indiqué.

Ce n’est pas la premier obstacle qui se dresse sur la route du jeune homme depuis le début de sa carrière, du côté de l’Olympique Lyonnais. Champion de France U17 en 2014, il n’avait finalement pas été conservé par les Gones. « Mon passage à Lyon, je n’en garde que du positif. Malheureusement je n’ai pas pu y percer parce que la concurrence est féroce. Chez les jeunes, il n’y a que des bons joueurs. Le bagage acquis à Lyon te permet de réussir ailleurs. Je me souviens du titre de champion de France U17 en 2014, avec une victoire en finale contre le PSG. Ce sont peut-être les meilleures années foot de ma vie, avec des amitiés qui durent, de belles rencontres. Quand on dit que Lyon est le meilleur centre, je ne suis pas étonné. Voir tous les joueurs qui sortent, ça force le respect. Il y a de bons formateurs. Il y a tout pour réussir là-bas. J’étais dans la génération de Jordy Gaspar, Christopher Martins Pereira. Quand on a été champion de France, on jouait aussi avec Houssem Aouar, un 1998, qui fait aujourd’hui le bonheur des pros. On a tout gagné cette année-là, avec une très bonne équipe, un super coach aussi », a-t-il raconté. Ses performances à l’OL lui permettent malgré tout de convaincre l’AJ Auxerre de lui offrir un contrat stagiaire en 2015.

« Je pars ensuite à Auxerre parce que l’OL ne me propose pas de contrat stagiaire. Auxerre me suivait déjà parce qu’en U17, nous étions souvent dans la même poule et nous avions joué plusieurs fois contre eux. L’AJA m’a proposé un contrat lorsqu’ils ont su que l’OL ne me conservait pas », expose-t-il. Malheureusement, là encore, un incident est venu rythmer son parcours. Une affaire de Periscope, quelques semaines seulement après celle concernant Serge Aurier à l’époque au Paris SG. « On était en déplacement en Corse pour la Gambardella. Je connais bien la Corse, où je vais souvent en vacances et où j’ai beaucoup d’amis. Pendant la traditionnelle balade d’avant-match, un ami m’a montré Periscope. L’application venait de sortir, je ne l’avais même pas sur mon téléphone. Je lisais toutes les phrases et j’y répondais. Un moment, je reçois un commentaire, que je lis, qui dit "bande de putes les Corses", auquel je réponds "pfff". Seulement, certains malins ont eu l’idée de couper la scène et d’envoyer ça à Ajaccio, que l’on allait affronter, à France Football et à d’autres. On en a parlé avec le coach, qui a compris. Il n’en fallait pas plus pour mettre le feu aux poudres en Corse. Derrière, on a perdu ce match-là, qui a été très chaud », a-t-il avoué.

Un Periscope qui coûte cher...

Cette affaire lui coûtera cher. « Je pensais que l’histoire allait s’arrêter là. Seulement, l’emballement médiatique, un mois même pas après l’affaire Serge Aurier, a fait que la direction, pour l’exemple, a décidé de résilier mon contrat. Je n’ai même pas été digne d’être reçu par les dirigeants, malgré le soutien de l’entraîneur et du staff. Sans explications », a-t-il regretté, espérant pouvoir servir d’exemples aux plus jeunes. « On ne va pas refaire l’histoire. Ça me servira pour plus tard. Et puis, si j’ai pu servir d’exemple à certains pour qu’ils fassent davantage attention à l’utilisation des réseaux sociaux, ça me console un peu. Je n’aurais peut-être pas dû dire ça, mais qui n’a pas fait d’erreurs dans sa jeunesse ? Après cette histoire, j’ai essayé de rebondir et j’ai bien senti que c’était compliqué ». Cette affaire désormais derrière lui, il veut se concentrer sur le football et se fixe des objectifs élevés pour la suite de sa carrière. À commencer par intégrer la sélection A du Sénégal à terme. « Ça me motive, ça me pousse à travailler. C’est plus qu’un rêve, c’est un objectif. Quand tu passes par les U20 puis les Espoirs, tu sais que, si tu fais le job de ton côté, la prochaine étape, c’est la sélection A », a-t-il affirmé, pleinement impliqué avec les Espoirs en attendant, lui qui a disputé le Mondial U20 en Corée du Sud en 2017.

« Pour se qualifier pour le Mondial U20, on a disputé la Coupe d’Afrique des Nations U20 en Zambie, on a perdu en finale contre le pays hôte, mais les quatre premières places étaient qualificatives. On a eu un groupe assez homogène : les Etats-Unis, l’Arabie Saoudite et l’Equateur. On s’est qualifié en 8e contre le Mexique, mais on est tombé contre plus fort, il n’y avait rien à dire. C’était une super expérience. On a joué dans des stades pleins. C’est le genre d’expériences qui fait grandir. Ce n’est pas tout les week-ends que tu joues ces compétitions-là », s’est-il rappelé, espérant disputer d’autres tournois importants. « On a les JO de 2020 dans le viseur avec la sélection olympique du Sénégal, on espère retourner en Asie ! Avant cela, il y a la CAN U20 en 2019 en Égypte si l’on veut se qualifier », a-t-il lancé. D’ici là, il espère continuer à engranger du temps de jeu en Lituanie avec Palanga, voire pourquoi pas attirer les regards d’un club d’un championnat plus huppé, notamment chez le voisin. « La Russie, qui est un championnat qui grandit. Avec le Mondial, il y a de sacrés infrastructures. De par la proximité géographique, il y a pas mal de scouts qui viennent voir des joueurs en Lituanie. J’ai confiance, si je fais des bons matches, on verra », a-t-il conclu. Après de nombreux rebondissements et quelques déceptions, Waly Diouf rattrape le temps perdu. Pourvu que ça dure !

http://www.footmercato.net/autre-champi ... s-l_224426

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Re: Des nouvelles...des anciens du centre

Messagepar Leonidas » 22 avr. 2018, 10:00

News:
Info FM : À la découverte de Dorian Salhi, le jeune portier de l’US Torcy tenté par le rêve américain !

Agile comme un félin, Dorian Salhi a, malgré les embûches, toujours su retomber sur ses pattes. De retour de centre de formation, son explosion cette année à l’US Torcy, à tout juste 18 ans, est la preuve qu’il n’y a pas de parcours type. Gardien de but, comme son frère, il cherche aujourd’hui à se faire une place dans le monde professionnel. Il s’est ouvert à Foot Mercato.

Dorian Salhi est un enfant de Noisy-le-Grand, en Seine-Saint-Denis. Génération 99, il fêtera ses 19 ans à la fin du printemps, au moment où l’équipe de France s’envolera pour la Russie. Pour retracer les débuts au football de Dorian Salhi il faut suivre le cours de la Marne. Le long de laquelle il tape ses premiers ballon en club, à cinq ans, à Villiers-sur-Marne, où il évolue jusqu’en Benjamins, avant de prendre la direction du Perreux-sur-Marne, jusqu’en U14. C’est une fois ses treize bougies soufflées que Dorian frappe une première fois à la porte de l’US Torcy, fabrique de champions seine-et-marnaise, par laquelle sont passés Paul Pogba, Adrien Hunou, Christopher Jullien ou encore Yohann Pelé.

Si son affection pour l’Olympique de Marseille, là où une partie de sa famille est installée, pourrait le rapprocher de la doublure de Steve Mandanda, c’est chez un autre portier de Ligue 1 que Dorian Salhi puise son inspiration. Anthony Lopes. Pas immense (1m85), comme son modèle, mais « beaucoup plus rapide qu’un gardien de 2 mètres », il fait partie de cette caste de gardiens dynamiques, explosifs, dotés d’une belle détente. Toujours en mouvement sur sa ligne, prêt à jaillir dans les pieds de l’adversaire, le Torcéen ne connaît pas la timidité et fait de la communication l’un de ses atouts. Son bagout et sa lecture du jeu rassurent sa défense. Des qualités qu’il tente de polir avec l’aide de Thibaut, son coach. « Il me fait progresser sur les points importants. Mes défauts d’il y a deux ans deviennent une facilité pour moi. Mon jeu au pied est presque devenu l’une de mes meilleures qualités, » raconte Dorian, non sans fierté.

Un destin lié à son frère

Repéré par l’AJ Auxerre à 14 ans, il s’exile dans l’Yonne avec son frère Axel, deux ans de plus que lui, gardien de but lui aussi. Son inspiration. « Tout ce qu’il a fait m’a motivé. C’est vraiment mon modèle. J’ai envie de l’imiter, mais de le faire encore mieux que lui. Il m’a ouvert la voie, » raconte le jeune gardien, qui aime écouter les conseils de son aîné lorsqu’ils débriefent leurs prestations. Un parcours similaire, initié au hasard des blessures des gardiens de leurs équipes respectives. Si Dorian fréquente les catégories U15, U16 et U17 première année à l’AJA, les choses se compliquent lorsque son frère décide de quitter le club pour signer en Suisse, du côté du FC Sion. Le destin des deux frères Salhi étant intimement lié, Dorian doit trouver un nouveau point de chute.

À l’En Avant de Guingamp, où il a signé pour deux ans, la première partie de saison se passe comme dans un rêve. Invaincus, les Bretons sont premiers à l’intersaison. Mais si l’entame est idéale, le rêve tourne au cauchemar. Dorian se blesse. Indisponible toute la deuxième partie de saison, il assiste impuissant à la signature d’un concurrent, d’un an son aîné, comme stagiaire pro. Mais réagit rapidement. « J’allais manquer de temps de jeu. Plutôt que de ne pas jouer, j’ai décidé d’aller tenter ma chance ailleurs. » En quête de visibilité, le jeune gardien frappe à la porte de Torcy. Un club qu’il connaît bien. Malgré un statut amateur, le club francilien jouit d’une belle réputation sur la scène nationale, dans la catégorie U19.

Pas de cadeau pour son retour au bercail
Si à l’aube de la saison 2016/17, l’US Torcy accueille à bras ouverts l’ancien de la maison, il ne lui fait aucun cadeau. Pour son retour en Seine-et-Marne, Dorian est mis en concurrence avec quatre autres gardiens. Quatre « retours de centres ». Des joueurs qui comme lui auront manqué la marche en centre de formation, ou tout simplement vu leur progression contrariée par un pépin physique. Le meilleur jouera. « La concurrence chez les gardiens n’est pas facile. Le premier est là mais doit sans cesse travailler car il sait que le deuxième dans la hiérarchie est tout proche. Il pousse. Mais c’est aussi la concurrence qui te fait progresser. Tant qu’elle est bonne, ça ne me pose pas de problème, » évoque celui qui aura finalement disputé vingt-quatre des vingt-six matches de la saison comme titulaire pour sa première année chez les U19 torcéens.

Club tremplin d’Ile-de-France, à l’instar du Paris FC, l’US Torcy laisse filer Dorian au Havre en juillet dernier. Un essai en Normandie qui se présente bien puisque le gardien effectue la préparation avec le groupe élite, les meilleurs de la CFA qui vont s’entraîner avec le groupe professionnel du club de Ligue 2. Si le timing n’est pas bon, le club doyen ayant fait signer un 3e gardien rapidement, pour palier le départ d’un autre à la CAN, il garde cependant contact avec le coach des gardiens du HAC, Michel Courel, qui avait notamment eu sous ses ordres un certain Steve Mandanda. Et apprend beaucoup. De retour à Torcy encore plus motivé, il est déterminé à encore progresser et se lance le défi de faire le plus de clean sheet possible pour sa deuxième saison avec les U19 Nationaux.

L’US Torcy, un club amateur très professionnel

L’été dernier, Dorian a passé son bac. La tête au Havre, il en a oublié de remplir ses vœux pour la suite. Mais il n’a pas abandonné les études pour autant. « J’ai trouvé une place en Fac d’Histoire. Je n’y vais pas tout le temps, car j’ai mis en place un programme d’entraînement personnel, en plus du club. Pour conserver le rythme des clubs pros, avec deux entraînements par jour. Pour rester au niveau. Le matin, je vais à la salle de sport, j’ai un programme qu’on a travaillé avec mon coach des gardiens à Torcy. Le soir je retrouve mes coéquipiers pour m’entraîner au club, » raconte celui qui à 18 ans a déjà un emploi du temps bien chargé. Ce sont ses parents qui financent la salle. Pas de salaire chez les U19, mais des primes lorsqu’on a la chance de jouer avec l’équipe première.

Une absence de revenu qui n’est pas négligeable pour ces jeunes majeurs qui tentent de faire leur trou aux portes du monde professionnel. Le club seine-et-marnais tente de compenser avec un accompagnement sur-mesure. « Le club nous le rend bien, pour un club amateur. On dort souvent à l’hôtel avant les matches, pour ne pas être fatigués par la route. On mange au restaurant avant le match le week-end. Nous ne sommes pas payés mais le club donne les moyens de réussir. » C’est en TGV que les U19 torcéens se déplacent à Strasbourg, pour disputer une rencontre du Championnat National. Club familial, Torcy compte sur Delphine, « notre maman au club », pour gérer les déplacements. Il y a aussi Rachid, qui cuisine pour les troupes à l’approche des matches. « Du Président à celui qui tient la buvette, ils sont tous importants, » raconte Dorian.

Explosion et rêve d’Amérique

Sixième défense d’un Championnat National U19 qui accueille 55 équipes, réparties dans quatre groupes, meilleure défense amateur, toutes poules confondues, l’US Torcy peut compter sur un gardien aux statistiques impressionnantes. Cette saison, Dorian a réalisé 11 clean sheet en 20 matches. Des chiffres à prendre au sérieux lorsque l’on regarde d’un peu plus près le niveau des équipes affrontées par les Seine-et-Marnais dans la Poule B. Auxerre, Reims, Troyes, Dijon, l’Olympique Lyonnais, Metz ou Sochaux se présentent tour à tour au Stade du Fremoy. Face à l’OL, club de son idole, Dorian stoppe un penalty et conserve le 0-0. Il en arrête trois cette saison. « Si je ne prends pas de but, c’est un match qui n’est pas perdu. C’est donc important pour moi, » raconte le jeune portier, l’obsession du clean sheet en tête. Huitième sur quatorze, à cinq journées de la fin du championnat, juste derrière l’Olympique Lyonnais, l’US Torcy lutte avec les autres équipes amateurs pour conserver sa place dans l’élite.

Si l’objectif affiché par le jeune gardien est aujourd’hui de trouver un club professionnel, il ne serait pas contre l’idée d’aller tenter l’aventure aux Etats-Unis. Il y a quelques semaines, une cinquantaine de coaches d’universités américaines se sont déplacés à Clairefontaine. Une rencontre FFF-USA organisée par Jérôme Meary, l’homme qui a facilité le transfert de Didier Drogba à l’Impact Montréal. Poursuivre ses études à l’université et parfaire sa formation de footballeur avant de faire son trou en MLS, l’idée ne déplairait pas à Dorian. « Là-bas, le championnat commence vraiment à se développer. Je connais des gens qui sont partis là-bas, ils m’ont dit que c’était vraiment le top, » raconte le jeune gardien, qui se verrait bien marcher sur les traces de Clément Diop, ancien portier amiénois parti tenter l’aventure à Los Angeles et qui évolue dorénavant sous les ordres Rémi Garde, à Montreal.

Pour parvenir à ses fins, Dorian peut compter sur une famille très présente. « Mes parents font tout pour moi. Ils viennent me voir tous les week-ends, font les déplacements. Mon père est toujours présent, avec sa caméra. Cela me permet ensuite d’analyser mes matches. » Le sacrifice de parents qui ont vu leurs deux garçons quitter très tôt le domicile familial pour aller tenter d’embrasser une carrière de footballeur aux quatre coins de l’Hexagone. Si son frère a en quelque sorte joué les pionniers et qu’il récolte aujourd’hui les louanges, il ne déplaît pas à Dorian de marcher dans les traces de son aîné. « Je suis un peu dans l’ombre de mon grand frère. Ma famille reconnaît un peu plus mon grand frère, parce qu’il a signé pro. C’est un acquis. Mais pour moi c’est un modèle et cela ne me dérange pas de devoir passer après. Au contraire, cela m’aide à progresser. » De ce côté-ci ou de l’autre côté de l’Atlantique, Dorian Salhi n’a qu’une idée en tête, s’émanciper et réaliser son rêve. Il se pourrait bien qu’il se fasse un prénom.

http://www.footmercato.net/autre-champi ... ain_223947

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Re: Des nouvelles...des anciens du centre

Messagepar zadat38 » 20 juin 2018, 22:47

Voilà les premiers mouvements de cet intersaison pour nos anciens Auxerrois :

Charlie Abraham va prendre du recul avec le foot après une saison difficile avec le Stade Auxerrois.
Vincent Acapandié a signé pour la saison 2018 à l'AS Capricorne, toujours en D1 réunionnaise.
Yasser Baldé quitte Fréjus pour le promu en N2 de l'US Endoume.
Thomas Bellay revient au Hyères FC après un court passage en Belgique.
Clément Couturier a signé au Luxembourg, au F91 Dudelange, champion cette saison.
Clément Daoudou quitte Granville et s'engage avec la GSI Pontivy (N3).
Auteur d'une grosse saison avec Avallon (16 buts en N3), Sabri Hattab rejoint le MDA Chasselay, en N2.
Alexis Lafon quitte Niederkorn et s'engage dans un autre club luxembourgeois, le FC UNA Strassen.
Sébastien Odules, après une saison sans foot, a rejoint l'US Bellemène Canot (D2 Réunion) pour la saison 2018.
Enzo Peritore a rejoint en cours de saison dernière l'US Endoume.
Nathan Peuget a quitté Jura Dolois en cours de saison lui aussi, pour rejoindre son ancien club, Jura Lacs.
Melvyn Vieira quitte lui aussi Granville et retourne à l'US Saint-Malo.

Re: Des nouvelles...des anciens du centre

Messagepar Spanish Gabacho » 20 juin 2018, 23:11

Et Hamza Hafidi continue au Mans FC en National

Re: Des nouvelles...des anciens du centre

Messagepar jfrancois » 21 juin 2018, 11:07

gregory Berthier (reims) prété au red star

Re: Des nouvelles...des anciens du centre

Messagepar Lolo » 21 juin 2018, 18:08

je pensais qu'il percerais à REIMS, j'adore ce joueur, élégant balle au pied

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Re: Des nouvelles...des anciens du centre

Messagepar zadat38 » 21 juin 2018, 19:11

Sofian Belbey a signé au Chambéry SF (N3).

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Re: Des nouvelles...des anciens du centre

Messagepar Leonidas » 22 juin 2018, 19:50

Leonidas a écrit : 22 avr. 2018, 10:00
News:
Info FM : À la découverte de Dorian Salhi, le jeune portier de l’US Torcy tenté par le rêve américain !

Agile comme un félin, Dorian Salhi a, malgré les embûches, toujours su retomber sur ses pattes. De retour de centre de formation, son explosion cette année à l’US Torcy, à tout juste 18 ans, est la preuve qu’il n’y a pas de parcours type. Gardien de but, comme son frère, il cherche aujourd’hui à se faire une place dans le monde professionnel. Il s’est ouvert à Foot Mercato.

Dorian Salhi est un enfant de Noisy-le-Grand, en Seine-Saint-Denis. Génération 99, il fêtera ses 19 ans à la fin du printemps, au moment où l’équipe de France s’envolera pour la Russie. Pour retracer les débuts au football de Dorian Salhi il faut suivre le cours de la Marne. Le long de laquelle il tape ses premiers ballon en club, à cinq ans, à Villiers-sur-Marne, où il évolue jusqu’en Benjamins, avant de prendre la direction du Perreux-sur-Marne, jusqu’en U14. C’est une fois ses treize bougies soufflées que Dorian frappe une première fois à la porte de l’US Torcy, fabrique de champions seine-et-marnaise, par laquelle sont passés Paul Pogba, Adrien Hunou, Christopher Jullien ou encore Yohann Pelé.

Si son affection pour l’Olympique de Marseille, là où une partie de sa famille est installée, pourrait le rapprocher de la doublure de Steve Mandanda, c’est chez un autre portier de Ligue 1 que Dorian Salhi puise son inspiration. Anthony Lopes. Pas immense (1m85), comme son modèle, mais « beaucoup plus rapide qu’un gardien de 2 mètres », il fait partie de cette caste de gardiens dynamiques, explosifs, dotés d’une belle détente. Toujours en mouvement sur sa ligne, prêt à jaillir dans les pieds de l’adversaire, le Torcéen ne connaît pas la timidité et fait de la communication l’un de ses atouts. Son bagout et sa lecture du jeu rassurent sa défense. Des qualités qu’il tente de polir avec l’aide de Thibaut, son coach. « Il me fait progresser sur les points importants. Mes défauts d’il y a deux ans deviennent une facilité pour moi. Mon jeu au pied est presque devenu l’une de mes meilleures qualités, » raconte Dorian, non sans fierté.

Un destin lié à son frère

Repéré par l’AJ Auxerre à 14 ans, il s’exile dans l’Yonne avec son frère Axel, deux ans de plus que lui, gardien de but lui aussi. Son inspiration. « Tout ce qu’il a fait m’a motivé. C’est vraiment mon modèle. J’ai envie de l’imiter, mais de le faire encore mieux que lui. Il m’a ouvert la voie, » raconte le jeune gardien, qui aime écouter les conseils de son aîné lorsqu’ils débriefent leurs prestations. Un parcours similaire, initié au hasard des blessures des gardiens de leurs équipes respectives. Si Dorian fréquente les catégories U15, U16 et U17 première année à l’AJA, les choses se compliquent lorsque son frère décide de quitter le club pour signer en Suisse, du côté du FC Sion. Le destin des deux frères Salhi étant intimement lié, Dorian doit trouver un nouveau point de chute.

À l’En Avant de Guingamp, où il a signé pour deux ans, la première partie de saison se passe comme dans un rêve. Invaincus, les Bretons sont premiers à l’intersaison. Mais si l’entame est idéale, le rêve tourne au cauchemar. Dorian se blesse. Indisponible toute la deuxième partie de saison, il assiste impuissant à la signature d’un concurrent, d’un an son aîné, comme stagiaire pro. Mais réagit rapidement. « J’allais manquer de temps de jeu. Plutôt que de ne pas jouer, j’ai décidé d’aller tenter ma chance ailleurs. » En quête de visibilité, le jeune gardien frappe à la porte de Torcy. Un club qu’il connaît bien. Malgré un statut amateur, le club francilien jouit d’une belle réputation sur la scène nationale, dans la catégorie U19.

Pas de cadeau pour son retour au bercail
Si à l’aube de la saison 2016/17, l’US Torcy accueille à bras ouverts l’ancien de la maison, il ne lui fait aucun cadeau. Pour son retour en Seine-et-Marne, Dorian est mis en concurrence avec quatre autres gardiens. Quatre « retours de centres ». Des joueurs qui comme lui auront manqué la marche en centre de formation, ou tout simplement vu leur progression contrariée par un pépin physique. Le meilleur jouera. « La concurrence chez les gardiens n’est pas facile. Le premier est là mais doit sans cesse travailler car il sait que le deuxième dans la hiérarchie est tout proche. Il pousse. Mais c’est aussi la concurrence qui te fait progresser. Tant qu’elle est bonne, ça ne me pose pas de problème, » évoque celui qui aura finalement disputé vingt-quatre des vingt-six matches de la saison comme titulaire pour sa première année chez les U19 torcéens.

Club tremplin d’Ile-de-France, à l’instar du Paris FC, l’US Torcy laisse filer Dorian au Havre en juillet dernier. Un essai en Normandie qui se présente bien puisque le gardien effectue la préparation avec le groupe élite, les meilleurs de la CFA qui vont s’entraîner avec le groupe professionnel du club de Ligue 2. Si le timing n’est pas bon, le club doyen ayant fait signer un 3e gardien rapidement, pour palier le départ d’un autre à la CAN, il garde cependant contact avec le coach des gardiens du HAC, Michel Courel, qui avait notamment eu sous ses ordres un certain Steve Mandanda. Et apprend beaucoup. De retour à Torcy encore plus motivé, il est déterminé à encore progresser et se lance le défi de faire le plus de clean sheet possible pour sa deuxième saison avec les U19 Nationaux.

L’US Torcy, un club amateur très professionnel

L’été dernier, Dorian a passé son bac. La tête au Havre, il en a oublié de remplir ses vœux pour la suite. Mais il n’a pas abandonné les études pour autant. « J’ai trouvé une place en Fac d’Histoire. Je n’y vais pas tout le temps, car j’ai mis en place un programme d’entraînement personnel, en plus du club. Pour conserver le rythme des clubs pros, avec deux entraînements par jour. Pour rester au niveau. Le matin, je vais à la salle de sport, j’ai un programme qu’on a travaillé avec mon coach des gardiens à Torcy. Le soir je retrouve mes coéquipiers pour m’entraîner au club, » raconte celui qui à 18 ans a déjà un emploi du temps bien chargé. Ce sont ses parents qui financent la salle. Pas de salaire chez les U19, mais des primes lorsqu’on a la chance de jouer avec l’équipe première.

Une absence de revenu qui n’est pas négligeable pour ces jeunes majeurs qui tentent de faire leur trou aux portes du monde professionnel. Le club seine-et-marnais tente de compenser avec un accompagnement sur-mesure. « Le club nous le rend bien, pour un club amateur. On dort souvent à l’hôtel avant les matches, pour ne pas être fatigués par la route. On mange au restaurant avant le match le week-end. Nous ne sommes pas payés mais le club donne les moyens de réussir. » C’est en TGV que les U19 torcéens se déplacent à Strasbourg, pour disputer une rencontre du Championnat National. Club familial, Torcy compte sur Delphine, « notre maman au club », pour gérer les déplacements. Il y a aussi Rachid, qui cuisine pour les troupes à l’approche des matches. « Du Président à celui qui tient la buvette, ils sont tous importants, » raconte Dorian.

Explosion et rêve d’Amérique

Sixième défense d’un Championnat National U19 qui accueille 55 équipes, réparties dans quatre groupes, meilleure défense amateur, toutes poules confondues, l’US Torcy peut compter sur un gardien aux statistiques impressionnantes. Cette saison, Dorian a réalisé 11 clean sheet en 20 matches. Des chiffres à prendre au sérieux lorsque l’on regarde d’un peu plus près le niveau des équipes affrontées par les Seine-et-Marnais dans la Poule B. Auxerre, Reims, Troyes, Dijon, l’Olympique Lyonnais, Metz ou Sochaux se présentent tour à tour au Stade du Fremoy. Face à l’OL, club de son idole, Dorian stoppe un penalty et conserve le 0-0. Il en arrête trois cette saison. « Si je ne prends pas de but, c’est un match qui n’est pas perdu. C’est donc important pour moi, » raconte le jeune portier, l’obsession du clean sheet en tête. Huitième sur quatorze, à cinq journées de la fin du championnat, juste derrière l’Olympique Lyonnais, l’US Torcy lutte avec les autres équipes amateurs pour conserver sa place dans l’élite.

Si l’objectif affiché par le jeune gardien est aujourd’hui de trouver un club professionnel, il ne serait pas contre l’idée d’aller tenter l’aventure aux Etats-Unis. Il y a quelques semaines, une cinquantaine de coaches d’universités américaines se sont déplacés à Clairefontaine. Une rencontre FFF-USA organisée par Jérôme Meary, l’homme qui a facilité le transfert de Didier Drogba à l’Impact Montréal. Poursuivre ses études à l’université et parfaire sa formation de footballeur avant de faire son trou en MLS, l’idée ne déplairait pas à Dorian. « Là-bas, le championnat commence vraiment à se développer. Je connais des gens qui sont partis là-bas, ils m’ont dit que c’était vraiment le top, » raconte le jeune gardien, qui se verrait bien marcher sur les traces de Clément Diop, ancien portier amiénois parti tenter l’aventure à Los Angeles et qui évolue dorénavant sous les ordres Rémi Garde, à Montreal.

Pour parvenir à ses fins, Dorian peut compter sur une famille très présente. « Mes parents font tout pour moi. Ils viennent me voir tous les week-ends, font les déplacements. Mon père est toujours présent, avec sa caméra. Cela me permet ensuite d’analyser mes matches. » Le sacrifice de parents qui ont vu leurs deux garçons quitter très tôt le domicile familial pour aller tenter d’embrasser une carrière de footballeur aux quatre coins de l’Hexagone. Si son frère a en quelque sorte joué les pionniers et qu’il récolte aujourd’hui les louanges, il ne déplaît pas à Dorian de marcher dans les traces de son aîné. « Je suis un peu dans l’ombre de mon grand frère. Ma famille reconnaît un peu plus mon grand frère, parce qu’il a signé pro. C’est un acquis. Mais pour moi c’est un modèle et cela ne me dérange pas de devoir passer après. Au contraire, cela m’aide à progresser. » De ce côté-ci ou de l’autre côté de l’Atlantique, Dorian Salhi n’a qu’une idée en tête, s’émanciper et réaliser son rêve. Il se pourrait bien qu’il se fasse un prénom.

http://www.footmercato.net/autre-champi ... ain_223947

Il signe à Dunkerque !

https://www.youtube.com/channel/UCvGqYDtuzUX5b1Gfhp5UbaQ

Re: Des nouvelles...des anciens du centre

Messagepar Samira89 » 23 juin 2018, 13:44

Hugo Wantz signe au Racing Besançon

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Re: Des nouvelles...des anciens du centre

Messagepar zadat38 » 23 juin 2018, 20:56

Bill Dago a signé à Pontarlier, promu en N2.

Re: Des nouvelles...des anciens du centre

Messagepar did89 » 24 juin 2018, 11:08

KENNY HEYMAN (milieu) signe à LAROCHE en N3

Re: Des nouvelles...des anciens du centre

Messagepar tequila » 25 juin 2018, 13:49

Leonidas a écrit : 22 juin 2018, 19:50 "... Si l’objectif affiché par le jeune gardien est aujourd’hui de trouver un club professionnel, il ne serait pas contre l’idée d’aller tenter l’aventure aux Etats-Unis ..."
Il signe à Dunkerque ! Elle est encore loin l'Amérique ... même s'il se rapproche d'un ... embarcadère !!!

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Re: Des nouvelles...des anciens du centre

Messagepar Leonidas » 28 juin 2018, 11:25

Hors-sujet
Je sais que Steve Shamal n'a pas été formé au club mais il sera prêté à Quevilly Rouen (par le Stade de Reims) pour la saison prochaine.

... je me fous de ce que tu gagnes, ce qui m'importe c'est ce que tu partages ...

Re: Des nouvelles...des anciens du centre

Messagepar Friend Zone » 28 juin 2018, 11:29

ah je l'avais oublié lui, fantasque joueur du coté droit, il fait son petit bonhomme de chemin c'est bien; ça fait déja une concurrence pour FX.

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Re: Des nouvelles...des anciens du centre

Messagepar zadat38 » 28 juin 2018, 18:36

Jordan Galtier sera entraîneur des U17 Nationaux de l'AC Ajaccio cette saison.
Grégory Soupramanien à signé au Conflans FC, promu en R1 Paris-Ile de France.
Quentin Jamet a signé à l'USSA Vertou, en N3.

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Re: Des nouvelles...des anciens du centre

Messagepar Leonidas » 04 juil. 2018, 10:52

Raphaël Calvet signe au Mans !

Re: Des nouvelles...des anciens du centre

Messagepar Spanish Gabacho » 04 juil. 2018, 11:10

Ce sera l'occasion d'aller le voir.....équipe ambitieuse le MUC (sic) cette année, clairement l'idée c'est de remonter tout de suite...