[CAN 2015] Le bar du stade

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Voici les phases de groupes de cette CAN2015 qui se déroulera en Guinée équatoriale.



Cette année la compétition a été longtemps incertaine avec l'épidémie d'ébola qui inquiétait beaucoup. Le Maroc, très prudent, qui avait été choisi comme organisateur aura longtemps demandé le report de la compétition. La CAF prendra la décision d'exclure le Maroc pour « non-respect des clauses réglementaires et contractuelles ». Ce n'est que le 14 novembre 2014 (tout juste 2 mois avant le début de la compétition) que la Guinée Equatoriale sera nommé pour l'organisation de la CAN.

Les dates importantes : 17 janvier au 8 février 2015
Quart de finale 31/01 et 1/02
Demi-finale 4/02 et 5/02
Match 3e place 7/02
Finale 08/02

Les diffusions sont toujours les nerfs de la guerre et l'attractivité d'une compétition :
Canal + Sport diffusera entièrement la compétition. Les phases de poule se jouerons a 17h et 20h pour les 2 premiers matchs puis 19h pour les 2 derniers de chaque poule (diffusion sur Canal + décalé en supplément)
Les 1/4 se jouerons a 18h et 21h. A partir de là les matchs auront lieu a 21h.

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Matchs amicaux :
Samedi 10 janvier 17h00 Congo - Cap Vert sur Lequipe21
Dimanche 11 janvier à 17h30 Côte d'Ivoire - Nigéria sur Lequipe21

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CAN 2015 : Le plateau final, ses favoris, ses outsiders, ses surprises

Demandes de report, refus d'organisation, puis enfin changement de pays hôte a seulement trois mois de la compétition, la CAN 2015 aura bel et bien lieu cet hiver après moult rebondissements, et ce en Guinée Equatoriale. On connaît depuis mercredi dernier les 16 nations qualifiées qui tenteront de décrocher le Graal à Malabo en février prochain. Zoom sur les équipes susceptibles de remporter le titre, ou encore les outsiders et les surprises éventuelles.

Avant d’évoquer les favoris de la compétition, il est important de souligner l’absence du tenant du titre pour cette édition 2015. En effet, le Nigeria qui s’était imposé en 2013 n’est pas parvenu à se qualifier finissant troisième de sa poule derrière l’Afrique du Sud et le Congo Brazzaville. La place de meilleur troisième elle, a été chipée par les Congolais de Kinshasa cette fois-ci. Nous avons déjà eu affaire à ce cas de figure en 2012 lorsque l’Egypte n’était pas parvenue à remettre son titre en jeu. Cela nous fait donc un favori en moins.

Les Favoris

Le Cameroun

Après une coupe du monde décevante et une élimination lors du premier tour, les Camerounais sont en train de renouveler une équipe qui n’avait plus l’air d’être capable de figurer parmi les cadors africains. Ainsi, le coach Volker Finke a profité de la retraite internationale de Samuel Eto’o afin d’injecter dans l’effectif des nouvelles ressources capables de devenir des leaders de la sélection sur le long terme. C’est dans cette optique qu’ont été convoqués l’attaquant Lyonnais Clinton N’jie ou encore l’excellent milieu défensif Franck Kom qui lui évolue en Tunisie à l’Etoile du Sahel. Après une campagne de qualification impeccable qu’il a fini invaincu (on ne s’attardera pas sur le présumé “match de la honte”), le Cameroun apparaît donc aujourd’hui comme un favori légitime de la prochaine Coupe d’Afrique des Nations. En plus d’avoir un effectif mêlant expérience et jeunesse talentueuse, à l’image d’Alexandre Song, Nicolas N’koulou ou bien le néo dragao Vincent Aboubakar, le Cameroun bénéficie d’une certaine stabilité car malgré l’échec au Brésil et contrairement à ses concurrentes, l’équipe est toujours sous les ordres du même homme depuis 2013.

La Cote d’Ivoire

Après la démission de Sabri Lamouchi suite à une Coupe du Monde ratée et le choix d’accorder les rênes de l’équipe à celui qui avait remporté la CAN avec la modeste Zambie, on s’attendait à ce que les éléphants et leur coach français Hervé Renard se reprennent et réalisent une campagne de qualification sans faute. Malheureusement pour les ivoiriens, ces éliminatoires n’ont pas été loin d’être un cauchemar avec des défaites cinglantes 4-1 et 4-3 au Cameroun et sur leurs terres contre la RD Congo. Ces contre performances peuvent trouver leur explication dans fait qu’il n’y a plus de véritable leader (sur ou en dehors du terrain) dans cette équipe depuis la retraite du héros national Didier Drogba, même si un joueur comme Yaya Touré a les épaules pour jouer ce rôle aujourd’hui. Les éléphants ont tout de même pu compter sur leurs stars et notamment le dernier cité afin de finalement décrocher leur billet pour la Guinée Equatoriale en battant le Congo sur ses terres et en tenant en échec le Cameroun lors de la dernière journée, malgré une fin de match parodique sur laquelle on ne s’éternisera pas. Cependant, si les ivoiriens ont l’intention de confirmer leur statut de favori et décrocher enfin le titre, il leur faudra régler leurs problèmes défensifs récurrents en stabilisant leur axe central qui est souvent défaillant. Enfin, Wilfried Bony doit prendre ses marques et profiter de l’absence de Drogba afin de devenir le buteur providentiel des éléphants, même s’il est très difficile de remplacer le centurion des blues.

Le Ghana

Un éclair, un seul, lors du mondial brésilien : le match nul 2 buts partout face aux futurs champions allemand. Comme si pendant 90 minutes les ghanéens avaient tous joué à 100 %. Car oui, c’est bien là le problème de cette sélection. Des joueurs bourrés de talent, et une équipe qui passe pourtant à chaque fois à côté d’une performance ou d’un exploit, à l’image de la demi finale perdue face à la Zambie en 2012 ou la finale de 2010 concédée à l’Egypte. Premiers de leur groupe devant la Guinée, les Black Stars ont réalisé une campagne éliminatoire correcte finissant avec onze points et proposant un niveau de jeu intéressant. De plus, il ne faut pas oublier que, comme la plupart des autres sélections africaines ayant participé au mondial, le Ghana a récemment changé de Coach et c’est désormais l’ancien de Chelsea Avram Grant qui est à la tète de l’équipe. Il faudra donc être patient avec cette sélection et donner du temps au temps. Ainsi, on assistera peut être à une montée en puissance des coéquipiers des frères Ayew lors de cette coupe d’Afrique, même si la concurrence s’annonce rude. Espérons pour les ghanéens qu’ils n’ont pas laissé passer leur chance en restant vierges malgré une génération composée d’Essien, Muntari ou encore Prince Boateng qui ne font aujourd’hui plus partie de la sélection, même si d’autres talents sont encore présents dans l’effectif.

L’Algérie

Le voila sans doute le favori le plus “crédible” de cette coupe d’Afrique. Auteurs d’un mondial exceptionnel avec une défaite en huitièmes et aux prolongations contre les futurs champions allemands, l’équipe d’Algérie est restée sur sa lancée en réalisant des qualifications presque parfaites, ternies par une défaite lors du dernier match au Mali. On ne va cependant pas en vouloir aux Fennecs dans la mesure où ceux-ci avaient déjà composté leur billet pour la Guinée Equatoriale. Techniques, complémentaires et très réguliers malgré un changement d’entraîneur, les algériens impressionnent à chaque match, emmenés par des leaders techniques comme Yacine Brahimi qui explose littéralement au FC Porto, ou encore le valencien Feghouli. A ces feu follets s’ajoutent des attaquants de classe mondiale comme Islam Slimani ou Soudani et une défense expérimentée et un milieu de terrain composé de joueurs évoluant dans les plus grands clubs européens a l’image de Bentaleb ou Saphir Taider. Enfin, outre ses joueurs les plus connus, l’Algérie dispose d’un vivier national encore plus intéressant si on considère les joueurs évoluant à l’intérieur du continent. On peut par exemple citer Abdelmoumen Djabou, auteur de deux buts en Coupe du Monde et qui évolue au Club Africain de Tunis, ou encore Baghdad Bounedjah néo international qui évolue lui aussi en Tunisie à l’Etoile du Sahel. Des ressources immenses donc qui sont mises à profit par un coach qui vit sa première expérience au sein d’une sélection mais qui se retrouve comme un poisson dans l’eau grâce à ses qualités de meneur d’hommes qui ont fait les beaux jours de Lorient. Une équation parfaite donc qui devrait permettre à l’Algérie de décrocher la deuxième coupe d’Afrique de son histoire. A suivre.

Les Outsiders

La Tunisie

Absents du dernier mondial suite à des barrages ratés, les tunisiens ont opéré un véritable chantier en engageant un nouveau sélectionneur, le belge George Leekens, remplaçant le néerlandais Ruud Krol qui a échoué dans sa mission de qualifier la Tunisie pour la Coupe du Monde. De nombreux joueurs ont ainsi pris la porte de sortie et d’autres jeunes ont effectué leurs grands débuts avec succès ou ont percé en prenant part aux matchs amicaux puis aux éliminatoires. Une équipe remaniée donc, seule avec le Cameroun à finir ces qualifications invaincue, qui a tout de même battue l’Egypte à l’aller et au retour et a réussi à triompher des redoutables Sénégalais. Ce succès s’explique d’abord par une équipe réaliste et pragmatique qui ne se compose pas de stars, mais qui est cependant très homogène puisqu’un grand nombre de joueurs évoluent au sein du championnat Tunisien dont les clubs sont les plus performants du continent. En effet, mis a part Aymen Abdennour qui évolue a Monaco et Wahbi Khazri à Bordeaux, peu de joueurs jouent dans de grands clubs européens. Cependant, le niveau technique de l’équipe est lui très important et la complémentarité, tout comme la diversité des joueurs est l’atout le plus important des aigles de Carthage. Cela peut être illustré par le fait que l’équipe était à l’aise dans le fait de changer de dispositif durant ces éliminatoires passant du 4 2 3 1 contre des équipes dites plus ” faibles” au 3 5 2 mis en place contre des équipes dites supérieures, avec à chaque fois une victoire ou au pire un match nul. L’explication est simple : les joueurs sont polyvalents et très généreux, comme ils ont pu le montrer lors du nul à Dakar. Nous retrouvons ainsi des joueurs comme Yassine Chikhaoui ou Fakhredine Ben Youssef qui effectuent le travail défensif et qui permettent ainsi à l’équipe d’assurer une solide base défensive, avec seulement deux buts encaissés lors des éliminatoires. Solide défensivement, l’équipe est également efficace offensivement avec des joueurs plutôt à l’aise balle au pied et d’autres capables de prendre la profondeur. Vous l’aurez compris, les mot clés pour évoquer la réussite de la Tunisie sont “complémentarité” et dans une moindre mesure “solidarité”. Afin de dépasser ce statut d’outsider et de se positionner comme véritable favoris, les Aigles devront multiplier les efforts et être très solides physiquement contre des équipes capables de les mettre en difficulté, sans perdre cette efficacité offensive qui leur fait tant de bien.

Le Sénégal

Eux aussi absents du mondial brésilien, mais également de la dernière CAN, les lions de la Téranga ont commencé leur reconstruction depuis janvier 2013 lorsque le sélectionneur Alain Giresse a pris les rênes de l’équipe. Ils sont passés tout près de l’exploit d’éliminer les éléphants de la Côte d’Ivoire en barrage de la coupe du monde mais se sont inclinés par manque d’expérience et de réussite. Cependant, aujourd’hui, les lions semblent renaître de leurs cendres et proposent un jeu très plaisant avec des joueurs extrêmement rapides et techniques, tel que l’attaquant de Southampton Sadio Mané. En plus d’une défense solide, composée notamment du futur ex nantais Djilobodji, et d’un milieu très dense dont on peut citer le duo de Premier League Diamé-Kouyaté, le Sénégal possède assurément le vivier d’attaquants le plus important d’Afrique. En effet, Alain Giresse peut compter sur pas moins de cinq attaquants de classe mondiale. En plus de l’ex blue Demba Ba et de Papiss Cissé, nous pouvons également compter l’ancien lillois Moussa Sow, Mame Biram Diouf qui fait des merveilles avec son club de Stoke City, et enfin Dame Ndoye qui évolue au Lokomotiv Moscou et qui fait partie des pièces maîtresses de la sélection. Vous l’aurez compris, le Sénégal dispose d’un effectif très riche qui leur permettra sans doute d’aller très loin dans la compétition. Le seul bémol qui leur empêche d’être considérés comme des favoris est le fait que cette équipe a souvent possédé un effectif riche, comme lors des éditions précédentes lorsque Mamadou Niang était par exemple au sommet de son art, sans jamais vraiment réussir à effectuer une performance qui permettra à la sélection de rester dans les anales du football africain. Espérons donc que le sélectionneur français saura faire cohabiter toutes ses stars et tirer le meilleur de chacun. Autre bémol, le Sénégal est tombé lors de ces éliminatoires sur un adversaire face auquel il n’a jamais su faire face qui est la Tunisie. On peut alors penser que face à des équipes bien regroupées et avec un bloc bas, les lions peuvent avoir du mal à trouver la faille. Il y a donc encore quelques retouches à faire pour Alain Giresse avant de s’attaquer aux cadors du continent.

Les surprises

Afrique du Sud et République démocratique du Congo

Comme la pour la Zambie en 2012 ou le Burkina en 2013, on assistera sans doute lors de cette édition à une surprise de taille qui arrivera pourquoi pas au moins jusqu’au dernier carré. Et bien on a toutes les raisons de penser que cette surprise est susceptible d’être l’Afrique du Sud ou bien la République démocratique du Congo. La première d’abord, simplement parce qu’elle a fini les qualifications avec 11 points devant le grand Nigeria en le tenant en échec deux fois de suite. Pourtant pas doté d’un effectif de grande qualité, les Bafana Bafana ont surpris grand monde et se sont qualifiés haut la main. Seul sept joueurs évoluent en Europe et seul Serero joue dans un grand club européen qui est l’Ajax. Pour le reste, il s’agit surtout de clubs de secondes zones belges, grecques ou suédois. L’équipe compte une seule Coupe d’Afrique remportée sur ses terres en 1996. La RD Congo maintenant, qui s’est qualifiée en position de meilleure troisième, mais qui est loin d’être l’équipe la plus faible de la compétition. Tombée dans un groupe extrêmement difficile composé de deux cadors que sont le Cameroun et la Côte d’Ivoire, la qualification relevait de la mission impossible. Pourtant, les Zaïrois sont tout de même parvenus à battre les éléphants sur leur terre avec notamment deux buts magnifiques, rien que ça, finissant les éliminatoires avec 9 points. L’effectif des léopards ressemble assez à celui des Sénégalais avec un milieu physique et athlétique composé de l’ancien parisien Mulumbu et du joueur de Brême Makiadi. Nous retrouvons devant des joueurs rapides tel que Bolasie ou Kebano et enfin des attaquants de classe comme Junior Kabananga ou Bokila. Ces deux sélections seront donc à suivre, en plus bien sûr des favoris et des outsiders cités précédemment.

Et vous, quel est selon vous le futur vainqueur de la CAN 2015 ?

L'article complet : http://yourzone.beinsports.fr/football- ... ses-81679/

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News:

La CAN 2015 en 10 chiffres

La 30e édition de la Coupe d’Afrique des Nations débute demain en Guinée Equatoriale. Quels sont les prix des billets ? Combien y a-t-il de sélectionneurs étrangers ? Quelle somme a été allouée à la lutte contre le virus Ebola ? Découvrez les chiffres clés de la compétition.

2 : Le nombre d’heures de travail en moins offertes aux fonctionnaires les jours de match par le président Obiang pour qu’ils puissent aller au stade. Leur journée de travail s’arrêtera donc à 14h au lieu de 16h habituellement.

4 : Le nombre de médecins et infirmières françaises envoyés par l’Eprus (Etablissement de préparation et de réponse aux urgences sanitaires) pour aider les autorités locales à prévenir tout cas d’Ebola pendant la CAN. La Guinée équatoriale a également reçu le renfort de personnel de l’OMS (Organisation mondiale de la santé) et recruté une vingtaine de médecins cubains.

13 : Sur 16, le nombre de sélectionneurs étrangers aux commandes d’une équipe qualifiée pour la CAN 2015. Un record. Parmi eux, six Français : Hervé Renard, Alain Giresse, Claude Le Roy, Michel Dussuyer, Henri Kasperczak et Christian Gourcuff.

14 : Sur 23, le nombre de joueurs de la sélection de Guinée-équatoriale nés… en Espagne mais ayant des origines équato-guinéennes. Seuls 6 joueurs du Nzalang national sont nés au pays. 3 autres ont été naturalisés.

52 : Le nombre de joueurs évoluant en Ligue 1 appelés en sélection pour la CAN. Le championnat de
France est de loin le plus touché en Europe par cet exode momentané. Lyon et Bordeaux, avec chacun cinq internationaux africains sélectionnés, sont les deux clubs de L1 les plus sollicités.

76 : En centimes d’euros, le prix du billet le plus abordable pour la CAN, soit 500 FCFA. Le ticket le plus cher - en VIP pour la finale - est vendu 15 000 FCFA, soit 23 euros.

1998 : La dernière année qui a vu le pays organisateur de la CAN s’incliner lors du match d’ouverture. A l’époque, le Burkina Faso avait perdu face au Cameroun (0-1).

16 000 : Le nombre de mètres de gazon naturel en rouleaux acheminés d’Espagne dans l’urgence début janvier pour garnir les terrains exécrables de Mongomo et Ebebiyin. Du coup, impossible de respecter le délai habituel d’enracinement de la pelouse, estimé à un mois et demi.

40 000 : Le nombre de billets que le président Teodoro Obiang a acheté sur ses propres deniers, soit l’équivalent de 30 000 euros. Ces tickets seront donnés à la population pour remplir des stades que le gouvernement craint de voir vides.

20 000 000 : En dollars, la somme que le gouvernement équato-guinéen affirme avoir débloquée depuis plusieurs mois pour la lutte contre Ebola.

La suite de l'article : http://rmcsport.bfmtv.com/football/la-c ... ign=buffer

[Leonidas]

http://www.footmercato.net/breves/la-tu ... can_147766

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La CAF mérite l’intérêt que l'on donne à la CAN...

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Le Maroc suspendu pour les CAN 2017 et 2019

Pour avoir renoncé au dernier moment à accueillir l'édition 2015, en raison de l'épidémie du virus Ebola, le Maroc est suspendu pour les éditions 2017 et 2019 de la CAN.


Abdelaziz Barrada et le Maroc seront privés de CAN en 2017 et en 2019. (L'Equipe)

La Confédération africaine de football (CAF) a tranché dans le vif, vendredi. Le Maroc, qui devait accueillir la CAN 2015 avant d'y renoncer en raison de l'épidémie du virus Ebola, est suspendu de participation pour les deux prochaines éditions de la compétition, en 2017 et 2019. «Le Comité Exécutif considère que contrairement à ce que soutient la Fédération Royale Marocaine de football, la force majeure ne saurait être retenue au bénéfice de cette fédération», justifie la CAF dans un communiqué.

La suite de l'article : http://www.lequipe.fr/Football/Actualit ... can/534462

[Marmotoon]

Marrant que la légende de la photo mentionne Barrada... et pas Chafni...

Comme beaucoup , je suis pour la suspension de la CAN en période d'épidémie.