Rigil a écrit :C'est ce qu'espérait la FFF après Knysna.-Matador- a écrit :Dans 1 mois tout le monde aura oublié.
Mais ce fait divers est aussi ce qu'attendait la FFF depuis Knysna

Rigil a écrit :C'est ce qu'espérait la FFF après Knysna.-Matador- a écrit :Dans 1 mois tout le monde aura oublié.
Jules a écrit :Le rythme des enflammades médiatiques est devenu insupportable.
bingo, Karabatic de retour à Montpellier et en EDF... Les médias préfèrent parler de Sandy maintenantRominet a écrit :ça y est les médias semblent avoir laché l'affaire... ça les intéresse plus, c'est tout benef pour les joueurs.
Jules a écrit :Le rythme des enflammades médiatiques est devenu insupportable.
Le jury d'appel de la Fédération française de handball (FFHB) a annulé la suspension de six matches prononcée en première instance contre Nikola Karabatic, Dragan Gajic et Issam Tej dans l'affaire des soupçons de paris truqués, a annoncé la FFHB, vendredi 29 mars.
Le jury d'appel "a considéré souverainement qu'un doute subsistait quant à la matérialité des fautes reprochées aux intéressés", qui ont tous les trois nié avoir parié sur le match du 12 mai 2012 Cesson-Sévigné-Montpellier, au coeur de l'affaire. "Ainsi, le jury d'appel a décidé de relaxer les trois joueurs", précise la FFHB dans un communiqué.
LE COMPORTEMENT DES JOUEURS ANALYSÉ
Le jury d'appel a en revanche sanctionné les quatre autres joueurs qui ont reconnu avoir parié, Mladen Bojinovic, Samuel Honrubia, Luka Karabatic et Primoz Prost, tout en assortissant du sursis deux des six matches de suspension prononcés en première instance début février.
"Le jury d'appel a retenu la notion de première faute prévue par le règlement et décidé que la sanction adaptée consistait à assortir du sursis 2 des 6 dates de suspension", précise la FFHB. Les appels des joueurs étant suspensifs, aucun d'entre eux n'avait purgé de match de suspension jusqu'ici
Les sept joueurs en question, qui portaient tous les couleurs de Montpellier au moment des faits, ont été mis en examen pour escroquerie aux dépens de la Française des Jeux. Ils sont soupçonnés d'avoir parié quelque 88 000 euros sur le score à la mi-temps du match Cesson-Montpellier, perdu (31-28) par les Héraultais, déjà assurés du titre. Un expert a été nommé pour analyser le comportement des joueurs de Montpellier pendant cette rencontre.
LeMonde.fr
Un rapport d'expertise valide l'hypothèse de la tricherie
INFO L'EQUIPE : L'affaire des paris suspects concernant le match de hand entre Cesson et Montpellier (12 mai 2012) connaît un nouveau rebondissement avec un rapport d'expertise qui valide l'hypothèse de la tricherie.
L’expert nommé par le juge d’instruction montpelliérain Thomas Meindl dans le cadre de l’affaire des paris suspects relative à la rencontre Montpellier-Cesson, disputée le 12 mai 2012, a validé dans son rapport l’anormalité du comportement de la quasi-totalité des joueurs héraultais lors de la première mi-temps du match, au terme de laquelle le club rennais menait au score contre toute attente (15-12).
Seul Michael Guigou, actuel capitaine du MAHB, aurait, selon nos informations, évolué lors de cette partie sans enjeu pour le MAHB, à un niveau de jeu conforme à ses qualités, ne nourrissant aucune suspicion. L’Equipe a eu connaissance des conclusions de l’expertise, qui a nécessité deux mois de travail de la part de son auteur, Pierre Sallet, physiologiste de formation : selon les termes conclusifs de ce rapport, « l’ensemble des éléments objectifs présentés et étudiés dans le cadre de cette mission d’expertise montre une carence volontaire indéniable du niveau de jeu de la part de certains joueurs de l’équipe de handball de Montpellier (MAHB) durant la première mi-temps de la rencontre du 12 mai 2012 contre Cesson (CRMH). »
Analyses cinématiques et vectorielles
Plusieurs avocats des parties concernées par l’ouverture de cette information judiciaire pour « escroquerie » au préjudice de la Française des Jeux, sollicitée par le magistrat instructeur dans le cadre de cette affaire lors de laquelle certains joueurs de Montpellier ont reconnu avoir parié contre leurs propres couleurs concernant le score à la mi-temps – tandis que d’autres continuent de nier-, ont pris connaissance ce matin des conclusions dudit rapport.
Pierre Sallet, l’expert lyonnais mandaté par le magistrat héraultais, s’est appuyé pour aboutir à ces conclusions sur des modèles statistiques de traitement de données et d’analyses cinématiques et vectorielles. Les différentes parties concernées ont désormais la possibilité de soumettre à l’expert leurs questions, voire même de demander la mise en place d’une nouvelle expertise, ce que le magistrat peut toutefois leur refuser.