[Réactions] Auxerre 1-3 Lyon (Sinayoko)

[nikolah66]

Voir les tribunes se vider 10 min avant la fin m'a également bien miné. Je ne pensais pas qu'il y avait autant de footix dans le stade, ça m'a mis mal à l'aise par rapport à l'équipe et le staff, c'est un grand manque de respect !

Hier c'était assez impressionnant !

J'espère que les footix ont bien profité de leur 15 min (allez 25 min, les bouchons à Auxerre sont bien connus) de dodo supplémentaires...

J'ai changé de chaine au même moment : vous m'en voulez ?

Allez Auxerre et le Stade auxerrois

Non pas du tout, j'ai juste pas compris l'intérêt ou la subtilité de votre propos...désolé

C'était ironique sur le fait que vous vous en êtes prix "Au footix" qui partaient avant la fin du match.

Chacun gère comme il veut, personne n'a quelque chose à redire.
Il a payé sa place, s'il considère qu'il en a assez vu. Il part et il doit rien à personne.

Allez Auxerre et le Stade Auxerrois

Oui tout le monde a le droit d'être un footix. C'est bien aussi de leur faire remarquer qu''ils ne font pas vraiment partis de ce fameux 12e hommes qui pousse leur équipe, c'est simplement dommage pour tous les passionés de ne pas avoir des personnes plus impliqués à leur place.
Ton ironie est un peu raté, sauf si tu es toi même dans cette catégorie et que tu considères qu'aller au stade est équivalent à allumé sa TV.

[le Zakhan noir]

sauf si tu es toi même dans cette catégorie et que tu considères qu'aller au stade est équivalent à allumé sa TV.

à la mi-temps, les frites et la bière sont-elles meilleurs chez soi qu'à l'Abbé? Vous avez 4h

[mazzolini]

sauf si tu es toi même dans cette catégorie et que tu considères qu'aller au stade est équivalent à allumé sa TV.

à la mi-temps, les frites et la bière sont-elles meilleurs chez soi qu'à l'Abbé? Vous avez 4h

Dans les tribunes de l’Abbé Deschamps, il y a une ambiance, un goût particulier : celui de la ferveur populaire, de la frite partagée en râlant sur l’arbitre, de la bière qui sent un peu la revanche à venir. La frite y a peut-être un goût de carton, mais elle a celui de la passion du stade. Et ça, chez soi, même avec les meilleures patates du monde, ça ne s’invente pas.

Alors, meilleures chez soi ? Peut-être. Mais à l’Abbé Deschamps, elles sont vivantes.

[jubal67]

Il y a le foot qu’on regarde. Et il y a celui qu’on vit.

Celui qu’on ressent dans chaque fibre, chaque cri, chaque frisson. Celui qui commence bien avant le coup d’envoi, dans les rues d’Auxerre, quand on marche vers l’Abbé-Deschamps, écharpe au cou, cœur déjà un peu serré. Parce qu’on sait que ce qu’on va vivre, ce soir encore, c’est bien plus qu’un match.

C’est un rituel. Une communion. Un moment suspendu.

Tu sens la friture avant de voir le stade. Les frites sont pas cuites, mais elles sont là. Fidèles. Comme nous. La bière est fraîche, les gobelets volent déjà en tribune, parfois avant même le premier but. Et tout ça a un goût de bonheur simple, brut, authentique.

Et puis, il y a la tribune Leclerc. Le cœur battant de l’Abbé. Les ultras, infatigables, inflexibles, toujours là pour pousser, chanter, souffler cette énergie incroyable qui monte des gradins pour envahir tout le stade. Une ambiance portée à bout de voix, reprise par tout le monde, jusqu’à la dernière tribune, jusqu’au dernier gosse monté sur les épaules de son père.

Quand l’AJA marque, on explose ensemble. Quand elle tombe, on tombe ensemble. Mais on se relève. Toujours.

Parce qu’on est là pour l’amour d’un club. Pour l’histoire d’une ville. Pour ces moments où on oublie tout, sauf le maillot qu’on porte dans le cœur.

Le foot, c’est pas du divertissement. C’est de la vie.

Et elle se vit à l’Abbé-Deschamps.

[mazzolini]

Il y a le foot qu’on regarde. Et il y a celui qu’on vit.

Celui qu’on ressent dans chaque fibre, chaque cri, chaque frisson. Celui qui commence bien avant le coup d’envoi, dans les rues d’Auxerre, quand on marche vers l’Abbé-Deschamps, écharpe au cou, cœur déjà un peu serré. Parce qu’on sait que ce qu’on va vivre, ce soir encore, c’est bien plus qu’un match.

C’est un rituel. Une communion. Un moment suspendu.

Tu sens la friture avant de voir le stade. Les frites sont pas cuites, mais elles sont là. Fidèles. Comme nous. La bière est fraîche, les gobelets volent déjà en tribune, parfois avant même le premier but. Et tout ça a un goût de bonheur simple, brut, authentique.

Et puis, il y a la tribune Leclerc. Le cœur battant de l’Abbé. Les ultras, infatigables, inflexibles, toujours là pour pousser, chanter, souffler cette énergie incroyable qui monte des gradins pour envahir tout le stade. Une ambiance portée à bout de voix, reprise par tout le monde, jusqu’à la dernière tribune, jusqu’au dernier gosse monté sur les épaules de son père.

Quand l’AJA marque, on explose ensemble. Quand elle tombe, on tombe ensemble. Mais on se relève. Toujours.

Parce qu’on est là pour l’amour d’un club. Pour l’histoire d’une ville. Pour ces moments où on oublie tout, sauf le maillot qu’on porte dans le cœur.

Le foot, c’est pas du divertissement. C’est de la vie.

Et elle se vit à l’Abbé-Deschamps.

ChatGPT ou Mistral ou un autre ???

[le Zakhan noir]

je pensais pas que ma vanne serait prise au sérieux, ça donne des jolies envolées, c'est bien

[jubal67]

Il y a le foot qu’on regarde. Et il y a celui qu’on vit.

Celui qu’on ressent dans chaque fibre, chaque cri, chaque frisson. Celui qui commence bien avant le coup d’envoi, dans les rues d’Auxerre, quand on marche vers l’Abbé-Deschamps, écharpe au cou, cœur déjà un peu serré. Parce qu’on sait que ce qu’on va vivre, ce soir encore, c’est bien plus qu’un match.

C’est un rituel. Une communion. Un moment suspendu.

Tu sens la friture avant de voir le stade. Les frites sont pas cuites, mais elles sont là. Fidèles. Comme nous. La bière est fraîche, les gobelets volent déjà en tribune, parfois avant même le premier but. Et tout ça a un goût de bonheur simple, brut, authentique.

Et puis, il y a la tribune Leclerc. Le cœur battant de l’Abbé. Les ultras, infatigables, inflexibles, toujours là pour pousser, chanter, souffler cette énergie incroyable qui monte des gradins pour envahir tout le stade. Une ambiance portée à bout de voix, reprise par tout le monde, jusqu’à la dernière tribune, jusqu’au dernier gosse monté sur les épaules de son père.

Quand l’AJA marque, on explose ensemble. Quand elle tombe, on tombe ensemble. Mais on se relève. Toujours.

Parce qu’on est là pour l’amour d’un club. Pour l’histoire d’une ville. Pour ces moments où on oublie tout, sauf le maillot qu’on porte dans le cœur.

Le foot, c’est pas du divertissement. C’est de la vie.

Et elle se vit à l’Abbé-Deschamps.

ChatGPT ou Mistral ou un autre ???

Oh non c'est mon métier d'écrire, j'écris des discours

[tasfaout96]

Il y a le foot qu’on regarde. Et il y a celui qu’on vit.

Celui qu’on ressent dans chaque fibre, chaque cri, chaque frisson. Celui qui commence bien avant le coup d’envoi, dans les rues d’Auxerre, quand on marche vers l’Abbé-Deschamps, écharpe au cou, cœur déjà un peu serré. Parce qu’on sait que ce qu’on va vivre, ce soir encore, c’est bien plus qu’un match.

C’est un rituel. Une communion. Un moment suspendu.

Tu sens la friture avant de voir le stade. Les frites sont pas cuites, mais elles sont là. Fidèles. Comme nous. La bière est fraîche, les gobelets volent déjà en tribune, parfois avant même le premier but. Et tout ça a un goût de bonheur simple, brut, authentique.

Et puis, il y a la tribune Leclerc. Le cœur battant de l’Abbé. Les ultras, infatigables, inflexibles, toujours là pour pousser, chanter, souffler cette énergie incroyable qui monte des gradins pour envahir tout le stade. Une ambiance portée à bout de voix, reprise par tout le monde, jusqu’à la dernière tribune, jusqu’au dernier gosse monté sur les épaules de son père.

Quand l’AJA marque, on explose ensemble. Quand elle tombe, on tombe ensemble. Mais on se relève. Toujours.

Parce qu’on est là pour l’amour d’un club. Pour l’histoire d’une ville. Pour ces moments où on oublie tout, sauf le maillot qu’on porte dans le cœur.

Le foot, c’est pas du divertissement. C’est de la vie.

Et elle se vit à l’Abbé-Deschamps.

SUPERBE

[Kallberg]

Défaite logique avec une AJA diminuée et fatiguée : pas grave, la saison reste magnifique

Léon : 7
Des face à face gagnés, son grand point fort, et de bonnes sorties dans les pieds. Il en encaisse quand même trois dont un penalty qu'il concède : pouvait-il faire autrement ? Sans lui, Lyon en passait cinq.

Hoever : 3
Pas dans son match. Un festival de mauvaises passes dans l'axe qui ont occasionné plusieurs situations pour Lyon.

Diomandé : 5
Déterminé, comme au match aller contre son ancienne équipe. Rugueux dans le duel. Vulnérable dès que l'adversaire met du mouvement car il sort haut et se retrouve rapidement hors de position.

Jubal : 5
Il a sauvé quelques situations mais commence à sentir le poids de tous les efforts fournis. C'est difficile pour lui quand ça joue vite en face.

Akpa : 4
Sa titularisation était forcée par les absences, alors qu'il n'était pas non plus au mieux.

Mensah : 6
Plusieurs retours défensifs pour sauver les meubles en première mi-temps. Pas vu sur l'aspect offensif, mais l'équipe partait de trop loin hier soir.

Perrin : 4
Son énorme saison commence à lui peser dans les chaussettes. Toujours généreux mais clairement fatigué. Imprécis sur ses coups francs.

Dioussé : 3
Mauvais match. Décevant parce qu'il avait été plutôt bon à Rennes le week-end dernier. Cette fois, il avait toujours un temps de retard sur les joueurs lyonnais et n'a vraiment pas été utile au milieu.

Danois : 4
Il n'était pas à 100% et ça s'est vu. Moins brillant, moins juste que d'habitude dans l'entrejeu, et surtout moins présent.

Onaiwu : 3
Comme à Rennes : quasiment invisible. Une vraie déception cette saison. Il a du talent mais ne semble plus avoir envie. C'était l'occasion d'en montrer beaucoup, il en a fait le minimum possible.

Sinayoko : 5
Jusqu'à son but qui a redonné de l'espoir à l'Abbé Deschamps, son match était raté, avec une maladresse qui devient problématique. Il se rachète sur ce bel enchainement en pleine surface.

Les remplaçants :
Bair et Ayé sont entrés en même temps en lieu et place d'Onaiwu et d'Akpa, un coup de poker pour tenter de renverser la table. Pari perdant puisque Bair a été très maladroit et Ayé a été invisible. Pélissier a ensuite changé ses pistons avec les entrées de Joly et Oppegård, à la place de Hoever et Mensah. Si Oppegård a encore montré des promesses, avec notamment un très bon centre devant le but proche de faire mouche, Joly de son coté s'est fait bouffer par Mikautadze sur le troisième but lyonnais. Enfin, Matondo a terminé le match en remplacement de Danois. Il semble avoir un certain potentiel athlétique. A revoir la saison prochaine.

L'adversaire :
Lyon est une belle équipe, emmenée par le talent de Cherki qui s'exprime enfin. Leur victoire est logique. La défense n'est pas au niveau du secteur offensif mais l'ensemble peut suffire pour terminer sur le podium, car dans le jeu, c'est ce qui se fait de mieux après Paris. Je les vois même à la lutte avec Monaco pour la deuxième place sur cette fin de saison.

Homme du match : Léon

Moyennes :
Perrin 6.08
Jubal 5.96
Léon 5.78
Danois 5.69
Traoré 5.33
Akpa 5.13
Bair 5.09
Owusu 5.04
Ayé 5.00
Dioussé 5.00
Sinayoko 4.90
Osho 4.89
Hoever 4.87
Massengo 4.86
Mensah 4.82
Diomandé 4.76
Raveloson 4.43
Onaiwu 4.29
Joly 4.25

(pas assez de matchs : Oppegård, De Percin)

Hommes du match :
AJ Auxerre - OGC Nice : Raveloson
FC Nantes - AJ Auxerre : Owusu
Le Havre AC - AJ Auxerre : Perrin
AJ Auxerre - AS Monaco : Traoré
Montpellier HSC - AJ Auxerre : Traoré (2)
AJ Auxerre - Stade Brestois : Owusu (2)
AS Saint-Etienne - AJ Auxerre : Bair
AJ Auxerre - Stade de Reims : Perrin (2)
Olympique Lyonnais - AJ Auxerre : Diomandé
AJ Auxerre - Stade Rennais : Perrin (3)
Olympique de Marseille - AJ Auxerre : Mensah
AJ Auxerre - Angers SCO : Léon
Toulouse FC - AJ Auxerre : Léon (2)
AJ Auxerre - Paris SG : Léon (3)
AJ Auxerre - RC Lens : Danois
RC Strasbourg - AJ Auxerre : Dioussé
AJ Auxerre - LOSC Lille : De Percin
Angers SCO - AJ Auxerre : Léon (4)
AJ Auxerre - AS Saint-Etienne : Owusu (3)
AS Monaco - AJ Auxerre : Jubal
AJ Auxerre - Toulouse FC : Perrin (4)
Stade Brestois - AJ Auxerre : Perrin (5)
AJ Auxerre - Olympique de Marseille : Jubal (2)
AJ Auxerre - RC Strasbourg : Danois (2)
Stade de Reims - AJ Auxerre : Bair (2)
OGC Nice - AJ Auxerre : Léon (5)
AJ Auxerre - Montpellier HSC : Hoever
Stade Rennais - AJ Auxerre : Jubal (3)
AJ Auxerre - Olympique Lyonnais : Léon (6)

[gilles]

Hier c'était assez impressionnant !

J'espère que les footix ont bien profité de leur 15 min (allez 25 min, les bouchons à Auxerre sont bien connus) de dodo supplémentaires...

J'ai changé de chaine au même moment : vous m'en voulez ?

Allez Auxerre et le Stade auxerrois

Non pas du tout, j'ai juste pas compris l'intérêt ou la subtilité de votre propos...désolé

C'était ironique sur le fait que vous vous en êtes prix "Au footix" qui partaient avant la fin du match.

Chacun gère comme il veut, personne n'a quelque chose à redire.
Il a payé sa place, s'il considère qu'il en a assez vu. Il part et il doit rien à personne.

Allez Auxerre et le Stade Auxerrois

Oui tout le monde a le droit d'être un footix. C'est bien aussi de leur faire remarquer qu''ils ne font pas vraiment partis de ce fameux 12e hommes qui pousse leur équipe, c'est simplement dommage pour tous les passionés de ne pas avoir des personnes plus impliqués à leur place.
Ton ironie est un peu raté, sauf si tu es toi même dans cette catégorie et que tu considères qu'aller au stade est équivalent à allumé sa TV.

Initialement c'était de l'ironie le fait que j'avais changé de chaîne.
Bientôt il va y avoir une charte d'obligation lorsque l'on achète un billet de chanter et de rester jusqu'au bout du match.
Sur cela je me retire de ce débat qui n'apporte rien au sujet mais qui m'avait fait un peu bondir.

Allez Auxerre et le Stade Auxerrois

[TOMMYWISEAU]

Il y a le foot qu’on regarde. Et il y a celui qu’on vit.

Celui qu’on ressent dans chaque fibre, chaque cri, chaque frisson. Celui qui commence bien avant le coup d’envoi, dans les rues d’Auxerre, quand on marche vers l’Abbé-Deschamps, écharpe au cou, cœur déjà un peu serré. Parce qu’on sait que ce qu’on va vivre, ce soir encore, c’est bien plus qu’un match.

C’est un rituel. Une communion. Un moment suspendu.

Tu sens la friture avant de voir le stade. Les frites sont pas cuites, mais elles sont là. Fidèles. Comme nous. La bière est fraîche, les gobelets volent déjà en tribune, parfois avant même le premier but. Et tout ça a un goût de bonheur simple, brut, authentique.

Et puis, il y a la tribune Leclerc. Le cœur battant de l’Abbé. Les ultras, infatigables, inflexibles, toujours là pour pousser, chanter, souffler cette énergie incroyable qui monte des gradins pour envahir tout le stade. Une ambiance portée à bout de voix, reprise par tout le monde, jusqu’à la dernière tribune, jusqu’au dernier gosse monté sur les épaules de son père.

Quand l’AJA marque, on explose ensemble. Quand elle tombe, on tombe ensemble. Mais on se relève. Toujours.

Parce qu’on est là pour l’amour d’un club. Pour l’histoire d’une ville. Pour ces moments où on oublie tout, sauf le maillot qu’on porte dans le cœur.

Le foot, c’est pas du divertissement. C’est de la vie.

Et elle se vit à l’Abbé-Deschamps.

J'ai des visions du sketch "Les Chasseurs" des inconnus en lisant ça!

"Ah mais c’est sûr, faut dire que quelque part, la chasse c’est une communion avec la nature, c’est un contact avec dame nature dès que l’aurore darde ses rayons d’argent à travers les écharpes de brume. - Faut avoir une âme de poète pour être chasseur ? - Ah putain ouais, c’est essentiel."

[cyrweg]

Il y a le foot qu’on regarde. Et il y a celui qu’on vit.

Celui qu’on ressent dans chaque fibre, chaque cri, chaque frisson. Celui qui commence bien avant le coup d’envoi, dans les rues d’Auxerre, quand on marche vers l’Abbé-Deschamps, écharpe au cou, cœur déjà un peu serré. Parce qu’on sait que ce qu’on va vivre, ce soir encore, c’est bien plus qu’un match.

C’est un rituel. Une communion. Un moment suspendu.

Tu sens la friture avant de voir le stade. Les frites sont pas cuites, mais elles sont là. Fidèles. Comme nous. La bière est fraîche, les gobelets volent déjà en tribune, parfois avant même le premier but. Et tout ça a un goût de bonheur simple, brut, authentique.

Et puis, il y a la tribune Leclerc. Le cœur battant de l’Abbé. Les ultras, infatigables, inflexibles, toujours là pour pousser, chanter, souffler cette énergie incroyable qui monte des gradins pour envahir tout le stade. Une ambiance portée à bout de voix, reprise par tout le monde, jusqu’à la dernière tribune, jusqu’au dernier gosse monté sur les épaules de son père.

Quand l’AJA marque, on explose ensemble. Quand elle tombe, on tombe ensemble. Mais on se relève. Toujours.

Parce qu’on est là pour l’amour d’un club. Pour l’histoire d’une ville. Pour ces moments où on oublie tout, sauf le maillot qu’on porte dans le cœur.

Le foot, c’est pas du divertissement. C’est de la vie.

Et elle se vit à l’Abbé-Deschamps.

L’amour du club ne se résume pas à venir à l’AD. Bien sûr qu’il faut un stade comble et on a vu cette saison ce que signifiait le 12eme homme. Mais combien de milliers sont expatriés même aux 4 coins de la planète et vibrent derrière leur télé comme des malades ? Et qui rêveraient d’être en tribune….
Tu ne peux donc pas dire ça.
Et c’est un amoureux acharné de ce club depuis 40 ans qui n’a pu mettre les pieds à l’AD que très peu de fois entre 2000 et 2010 qui te le dis.
Et habitant à 200km d’Auxerre je me sens désormais privilégié de pouvoir payer 3 abonnements et tous les frais de déplacements pour venir à l’AD
Je t’assure que l’amour à distance entre l’AJA et ses fidèles ça existe…

[Julien]

La grosse frappe de Sina sous la barre, ça montre bien qu'il est capable de proposer autre chose que ses frappes de mouche à moitié "topées" ô combien frustrantes.

[nikolah66]

La grosse frappe de Sina sous la barre, ça montre bien qu'il est capable de proposer autre chose que ses frappes de mouche à moitié "topées" ô combien frustrantes.

Il dit avoir une bonne frappe du gauche en interview d’après match. J’ai essayé de me souvenir de ses dernières frappes du gauche, je me suis souvenu des buts contre Paris FC a l’abbé l’an dernier (match de la montée) et contre PSG en L1 la saison précédente.
Et j’ai des souvenirs de frappes « topées », toujours pied droits.
A-t-il déjà marqué avec une belle frappe du pied droit ?
A-t-il déjà topé une frappe pied gauche ?

[Scifo89]

La grosse frappe de Sina sous la barre, ça montre bien qu'il est capable de proposer autre chose que ses frappes de mouche à moitié "topées" ô combien frustrantes.

après ça reste des frappes instinctives sur ce point il a toujours été pas si mal. C'est plus sur les frappes plus réfléchies que c'est compliqué

[JAZ89]

Si il y a une leçon à retirer de la défaite d'hier.
C'est qu'avec un effectif réduit en qualité les fins de saison sont très difficiles.
Heureusement que le maintien est déjà acquis.

L'effectif n'y est pour rien car notre club ne peut prétendre financièrement à beaucoup plus haut. L'A.J.A. est simplement tombée hier soir sur l'équipe française la meilleure du moment, derrière le Paris Saint-Germain bien évidemment. Je ne doute guère que l'Olympique lyonnais montera sans grande peine sur le podium de la Ligue 1 en fin de saison (à vrai dire je les vois même second) Cette équipe possède quelques joueurs d'exception : Cherki, Tolisso, Mikhautadze, Perri, Almada et Lacazette entre autres. Son seul "point faible" la défense et encore !

Je ne remets pas en cause que L'OL a une équipe forte à l'instant t.
En même temps quand je pense au demi-milliard d'euros de dettes qu'ils ont, je ne peux pas m'empêcher de penser que nous ne jouons pas à arme égale (suffit de regarder le bilan de l'AJA, 4 millions d'euros de dette très largement à cause d'investissement dans l'immobilier du club).

Alors si en fin de saison la DNCG envoyait ce club en Ligue 2 parce qu'à un moment faut arrêter les conneries financières, j'applaudirais des deux mains et la seule chose que je dirais à leurs supporters "ben les gars, pas de problème, cotisez-vous pour payer l'addition" et quand ils vont voir que même en s'y mettant à 50 000 gus, il faudrait qu'ils mettent 10 000 € chacun, le fan club faudrait comme neige au soleil).

[JAZ89]

sauf si tu es toi même dans cette catégorie et que tu considères qu'aller au stade est équivalent à allumé sa TV.

à la mi-temps, les frites et la bière sont-elles meilleurs chez soi qu'à l'Abbé? Vous avez 4h

C'était une vanne, super.
Alors comme on peut vanner, pas de souci... je crois me souvenir que tu es à des heures de route de l'Abbé Deschamps (peut-être plus de 4h)... bref le stade tu ne le vois pas souvent non ?
Dommage pour toi ... smile, on vanne.

[JAZ89]

Voir les tribunes se vider 10 min avant la fin m'a également bien miné. Je ne pensais pas qu'il y avait autant de footix dans le stade, ça m'a mis mal à l'aise par rapport à l'équipe et le staff, c'est un grand manque de respect !

Hier c'était assez impressionnant !

J'espère que les footix ont bien profité de leur 15 min (allez 25 min, les bouchons à Auxerre sont bien connus) de dodo supplémentaires...

J'ai changé de chaine au même moment : vous m'en voulez ?

Allez Auxerre et le Stade auxerrois

Non pas du tout, j'ai juste pas compris l'intérêt ou la subtilité de votre propos...désolé

C'était ironique sur le fait que vous vous en êtes prix "Au footix" qui partaient avant la fin du match.

Chacun gère comme il veut, personne n'a quelque chose à redire.
Il a payé sa place, s'il considère qu'il en a assez vu. Il part et il doit rien à personne.

Allez Auxerre et le Stade Auxerrois

Je suis abonné et je reste jusqu'au bout quoiqu'il arrive
Après je peux comprendre, entre la défaite et la médiocrité de Frappart en 2ème mi-temps, difficile d'avoir envie jusqu'au bout ... si la LFP a quelques problèmes de finances liés à la baisse de l'attractivité du produit, qu'ils se posent les bonnes questions quant à la contribution de Frappart.

Je désamorce tout de suite les éventuels procès en misogynie, au stade dans le couple d'abonnés assis derrière moi, le gars peu enclin à critiquer l'arbitrage ne pipait plus mot devant le naufrage Frappart en 2ème tandis que sa femme elle ne machait pas ses mots sur l'incompétence suspecte de cette dernière.

[Scifo89]

On s'était enflammé sur Hoever suite à son dernier match mais il démontre encore une fois que la régularité n'est pas son point fort..

[le Zakhan noir]

sauf si tu es toi même dans cette catégorie et que tu considères qu'aller au stade est équivalent à allumé sa TV.

à la mi-temps, les frites et la bière sont-elles meilleurs chez soi qu'à l'Abbé? Vous avez 4h

C'était une vanne, super.
Alors comme on peut vanner, pas de souci... je crois me souvenir que tu es à des heures de route de l'Abbé Deschamps (peut-être plus de 4h)... bref le stade tu ne le vois pas souvent non ?
Dommage pour toi ... smile, on vanne.

en vrai je suis pas si loin, à 2H30 de route, mais oui, je le vois quasi jamais le stade. 10 fois en tout peut-être... j'en fais pas des cauchemars, mais je comprends tout à fait l'amour qu'on lui porte, et c'est très bien. Moi aussi je l'aime, même si je vanne sur la légende des frites. Indice: je considère qu'on peut rire de tout et n'importe quoi, esprit Charlie... et ça veut pas dire qu'on aime pas ce qu'on vanne. On peut plus rire de rien déjà à cause des religieux de merde, c'est parce que le nom du stade commence par "Abbé" qu'on a pas le droit d'en rire non plus?